TRADUCTION LIBRE
DE
Contes populaires inédits du Caire
Par S. E. Artin Pacha
LES TROIS FILLES DU MARCHAND DE FÈVES (*)
DÉHLIZ (**)
Je suis entré d'un passage dans un autre ; je rencon-
trai un chanteur et une procession (de mariée). Je
trouvai mon amant étendu sur un coussin (couleur)
pistache : je lui dis : « Donne-moi les clefs » ; il me
dit : « Prends-les, les voici et cours., garde-toi de glis-
ser, et moi je te rejoindrai ! » (***)
j \j\ (*}
(**) DéhUx est l'antichambre ou le corridor qui conduit dans une
maison ; on l'emploie au figuré à la place d'« avant-propos », entrée
en matière dans ces sortes de contes populaires.
DE
Contes populaires inédits du Caire
Par S. E. Artin Pacha
LES TROIS FILLES DU MARCHAND DE FÈVES (*)
DÉHLIZ (**)
Je suis entré d'un passage dans un autre ; je rencon-
trai un chanteur et une procession (de mariée). Je
trouvai mon amant étendu sur un coussin (couleur)
pistache : je lui dis : « Donne-moi les clefs » ; il me
dit : « Prends-les, les voici et cours., garde-toi de glis-
ser, et moi je te rejoindrai ! » (***)
j \j\ (*}
(**) DéhUx est l'antichambre ou le corridor qui conduit dans une
maison ; on l'emploie au figuré à la place d'« avant-propos », entrée
en matière dans ces sortes de contes populaires.