Journal Marbrerie
et be l'Art ôccor^tif
Supplément au n° 95 du 5 octobre 1907 de la Revue Générale de la Construction
Isa sculpture mécanique
Parmi les œuvres d'art dont nos artistes sont si Cette nécessité de permettre aux bourses moyeu-
prodigues, il en est qu'on se plaît à voir repro- nés les facilités d'acquérir des objets que leur
d.uites, parce qu'elles sont dignes de figurer dans valeur rendait inaccessible, a fourni maintes fois
les plus riches salons et dans les vitrines les mieux l'occasion de chercher différents moyens de repro-
assorties. duotion mécanique qui puissent, dans une cer-
tain© mesure, diminuer assez sensiblement le prix
" H de la main-d'œuvre.
De là un certain nombre de machines à sculp-
ter qui, malgré l'ingéniosité des chercheurs, ont
Hg3uk.:lH eu de grandes difficultés à pénétrer dans le corn-
SHSkJjlfH ■K^u.iijËilijj^^Bj meroe, parce que La copie obtenue était le plus
f ^JHnt«j B Bjp; ' • Y;.' '"-^li^^H souvent une reproduction trop grossière d© l'ori-
H|^NjH|T / 1 H* ' w BJ ginal et qu'on n'en- obtenait qu'un ébauehage plus
ST^fl B fcu vv^ll-' I ou moins parfait qu'il fallait terminer en dépen-
BL^ 1 JÊ sant presque autant de travail que s'il .avait fallu
Baf'*»," \ t —HE^^iâMMî*^^''''• JÊm faire la pièce entièrement.
Ev* JPSlN- ^v^^ Mk^^^^MB Un des inconvénients des machines existantes
IBÎk^O-^^SI ost d'exiger l'emploi d'un modèle en fonte ou on
||fe--W>^W|B cuivre, dont les frais de fabrication sont énormes
■■■MMmI pour, dans certains cas, ne servi)' qu'un© seul©
BL.VBl ïms. Ces modèles étaient naturellement d'un poids
WËÈBmJUÊt V .cIBB KtoBI H assez considérable pour rendre la construction de
WËÊÊ%m H la. machine trop lourde et d'un© manœuvré très
Bnfl^i Se'^BI El- Jb B difficile.
B^|mL: ï \ ■ BBÉt^B Or, on nous communique la description d'un
KwPo -'i.lfcBJ nouvel appareil qui peut utiliser des modèles soit
(■ÉMii&B] en bois, en plaire ou même en terre cuite, rnaté-
BÉifWleKS riaux moins coûteux et plus légers qui permet! en!
Bj au sculpteur d'exécuter ses travaux d'après ses
BfflLBBj BJBJl^^v^' BJ propres maquettes ou d'après des modèles-qu'il
BS^£«l^wiy^^BB^BWWSlMiÊX- bB] aura achetés.
I^Mmbk^ - ---««■^■P"***jll'l| principes d© la machin© dont il est question
BBB^—" ■ \amÈÈimmm^^^^m Qon^ simples.
Sujets en bois sculptés par la machine La suspension d'un cadre porte-outils a des ar-
et be l'Art ôccor^tif
Supplément au n° 95 du 5 octobre 1907 de la Revue Générale de la Construction
Isa sculpture mécanique
Parmi les œuvres d'art dont nos artistes sont si Cette nécessité de permettre aux bourses moyeu-
prodigues, il en est qu'on se plaît à voir repro- nés les facilités d'acquérir des objets que leur
d.uites, parce qu'elles sont dignes de figurer dans valeur rendait inaccessible, a fourni maintes fois
les plus riches salons et dans les vitrines les mieux l'occasion de chercher différents moyens de repro-
assorties. duotion mécanique qui puissent, dans une cer-
tain© mesure, diminuer assez sensiblement le prix
" H de la main-d'œuvre.
De là un certain nombre de machines à sculp-
ter qui, malgré l'ingéniosité des chercheurs, ont
Hg3uk.:lH eu de grandes difficultés à pénétrer dans le corn-
SHSkJjlfH ■K^u.iijËilijj^^Bj meroe, parce que La copie obtenue était le plus
f ^JHnt«j B Bjp; ' • Y;.' '"-^li^^H souvent une reproduction trop grossière d© l'ori-
H|^NjH|T / 1 H* ' w BJ ginal et qu'on n'en- obtenait qu'un ébauehage plus
ST^fl B fcu vv^ll-' I ou moins parfait qu'il fallait terminer en dépen-
BL^ 1 JÊ sant presque autant de travail que s'il .avait fallu
Baf'*»," \ t —HE^^iâMMî*^^''''• JÊm faire la pièce entièrement.
Ev* JPSlN- ^v^^ Mk^^^^MB Un des inconvénients des machines existantes
IBÎk^O-^^SI ost d'exiger l'emploi d'un modèle en fonte ou on
||fe--W>^W|B cuivre, dont les frais de fabrication sont énormes
■■■MMmI pour, dans certains cas, ne servi)' qu'un© seul©
BL.VBl ïms. Ces modèles étaient naturellement d'un poids
WËÈBmJUÊt V .cIBB KtoBI H assez considérable pour rendre la construction de
WËÊÊ%m H la. machine trop lourde et d'un© manœuvré très
Bnfl^i Se'^BI El- Jb B difficile.
B^|mL: ï \ ■ BBÉt^B Or, on nous communique la description d'un
KwPo -'i.lfcBJ nouvel appareil qui peut utiliser des modèles soit
(■ÉMii&B] en bois, en plaire ou même en terre cuite, rnaté-
BÉifWleKS riaux moins coûteux et plus légers qui permet! en!
Bj au sculpteur d'exécuter ses travaux d'après ses
BfflLBBj BJBJl^^v^' BJ propres maquettes ou d'après des modèles-qu'il
BS^£«l^wiy^^BB^BWWSlMiÊX- bB] aura achetés.
I^Mmbk^ - ---««■^■P"***jll'l| principes d© la machin© dont il est question
BBB^—" ■ \amÈÈimmm^^^^m Qon^ simples.
Sujets en bois sculptés par la machine La suspension d'un cadre porte-outils a des ar-